• Témoignage de Bauman (1892)

    Cette histoire fut rapportée dans l'un des livres de Teddy Roosevelt (« The Wilderness Hunter », 1893).

    Bauman trappait le castor sur la rivière Wisdom avec quelques un de ses amis lorsqu'ils voulurent remonter la rivière dans une région plus éloignée, afin d'y trouver des castors.

    « Cette région avait pourtant une mauvaise réputation car un chasseur solitaire qui s'y était aventuré l'année d'avant avait été tué, sans doute, par une bête sauvage mais Bauman et ses amis ne se laissèrent pas impressionner.
    Un jour, alors qu'ils revenaient du trappage, ils découvrirent que leur campement avait été visité lors de leur absence sans doute par un ours. Les traces étaient bien distinctes au sol mais ils n'y firent pas attention. Plus tard, ils examinèrent ces traces et s'aperçurent que le pilleur marchait debout. »

    Une nuit, Bauman fut réveillé par du bruit provenant de l'extérieur et tandis qu'il aperçut une imposante silhouette à l'entrée de sa tente, il sentit une forte odeur d'animal. Il prit donc son fusil et tira en direction de l'ombre, mais rata apparemment son coup car des bruits de feuillages et de branches cassés se firent entendre presque immédiatement après cela. La nuit suivante, ils décidèrent de monter la garde à tour de rôle et furent pris de panique quand ils entendirent un bruit de branches brisées, suivi d'un long hurlement effrayant (CRI 1 | CRI 2 | CRI 3 | CRI 4).
    Le matin venu, ils décidèrent d'abandonner le campement.
    Bauman alla récupérer les derniers pièges de castor tandis que son ami resta au camp pour emballer le matériel. Cela lui prit un certain temps et lorsqu'il revint dans la clairière, il ne trouva aucune trace de son ami.
    Il fit quelques pas et trébucha sur quelque chose : un cadavre.
    Celui de son ami, qui avait par malheur tourné le dos à la forêt et s'était fait tué par la créature. Pris de panique, Bauman s'enfuit sur son poney en emportant son fusil.

    Histoire de Beck ( 1924 )

    En 1924, Fred Beck et une bande de mineurs décidèrent d'aller exploiter de l'or à deux milles à l'est du Mont St-Helens dans un canyon qu'on appelle aujourd'hui « Ape Canyon ».
    Un jour, alors qu'ils étaient en train de travailler, ils virent une étrange créature qui les observait cachée derrière un arbre.
    L'un des mineurs lui tira dessus, et la créature s'enfuit, blessée à la tête selon toute vraisemblance. Un peu plus tard, Beck remarqua une créature semblable sur le bord du canyon, il tira lui aussi et l'être tomba de la falaise, puis disparut. Dans la soirée, plusieurs créatures attaquèrent la cabane des mineurs. Ces derniers furent réveillés par les coups assénés au toit et aux murs.

    Cependant la cabane était solidement bâtie pour résister aux importantes chutes de neige et la porte était bien fermée de l’intérieur. Ainsi les créatures ne purent y entrer et s’en allèrent à l’aube, en laissant des centaines de traces autour de la cabane. Les mineurs décidèrent de quitter la cabane et abandonnèrent leur mine.


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  • Amityville, la Maison du Diable



    E
    n 1974, un jeune homme de 24 ans, Ronald DeFeo, assassine de sang froid à 3h15 du matin, les 6 membres de sa famille pendant leur sommeil.
    Ainsi commence l'histoire d'Amityville, la Maison du Diable.

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    Amityville est une petite ville des USA, à Long Island dans l'état de New York, d'apparence plutôt tranquille, jusqu'à cette nuit de novembre 1974, où au 112 Océan Avenue, DeFeo assassine toute sa famille à l'aide d'un fusil de calibre 35.
    Durant l'audience préliminaire qui eu lieu le 22 septembre 1975, Ronald DeFeo déclara "n'avoir pas pu contrôler une pulsion commandée par une entité" qu'il appela le Diable. Il plaida la folie et fut condamné à six peines consécutives d'emprisonnement de vingt-cinq ans à la prison spéciale de Danemorra aux U.S.A.

    La maison fut alors mise en vente et un couple, Georges et Kathleen Lutz, ainsi que leurs trois enfants, y emménagèrent peu de temps plus tard.
    Ayant été informé de la tragédie, la famille fit appel à un exorciste, le père Mancuso. Mais à peine celui-ci eut-il franchit la porte d'entrée qu'il entendit une voix masculine et parfaitement claire lui intimer l'ordre de partir. Comprenant que cette entité était beaucoup trop forte pour que quiconque puisse la chasser, il quitta la maison en laissant les Lutz à leur propre sort.

    Commença alors pour la famille un séjour de cauchemar.

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    Dès les deux premières nuits, ils entendirent des sons étranges, mais le plus troublant est l'heure à laquelle ils les ont entendu, 3h15 précise, heure du massacre de la famille DeFeo.
    Mais le cauchemar ne fait que commencer. Suite à ces deux nuits de terreur, Georges vérifia que toutes les portes et fenêtres soient solidement fermées. Il fit même installer une barre de fer pour consolider la porte d'entrée.
    Hélas, dans la nuit, les bruits reprirent de plus belle, toujours plus étranges et angoissants. Lutz se leva et fut surpris de voir la porte d'entrée grande ouverte, et plus horrible, celle-ci avait été crochetée de l'intérieur. Quant à la barre de fer, elle gisait complètement tordue à côté de la porte.

    Cependant, malgré toutes ces péripéties, les Lutz décidèrent de tenir bon et de rester. C'est alors que quelques temps plus tard, toujours en pleine nuit, en se réveillant, Lutz eu l'effroyable surprise de voir sa femme en train de léviter au dessus du lit avec un visage crispé d'horreur, dont elle ne se séparera que 6 heures plus tard.

    Après cette lévitation, tout s'arrêta brutalement. Il n'y eu plus ni bruits, ni phénomènes paranormaux. Mais ce n'est pas terminé... en effet, quelques jours plus tard, alors que Kathleen était à la fenêtre, elle aperçu deux yeux rouge sang qui la fixaient.
    La maison se déchaîna alors de plus belle, bruits et cris de plus en plus fort, boue verte qui dégoulinait des murs et du plafond, serrure pleine d'une étrange substance noirâtre. Prise de panique, la famille s'enfuit.

    Les Lutz n'auront habité la maison que 28 jours avant de la fuir effrayé par tant de phénomènes paranormaux.
    De nos jours, la maison est habitée par de nouveaux occupants qui ne cessent de répéter que depuis leur installation rien d'étrange ne s'est produit.

    La maison du diable a beaucoup fait parler d'elle, les Lutz ont d'ailleurs écrit leur témoignage dans l'ouvrage :  The Amityville Horror, paru en 1977.
    Depuis, de nombreux films ont vu le jour sur ce sujet :
    - The Amityville Horror (1979), réalisé par Stuart Rosenberg, raconte l'histoire réelle vécue.
    - Amityville 2 The Possession (1982), réalisé par Damiano Damiani.
    - Amityville 3D: The Demon (1983), réalisé par Richard Fleischer.
    - Amityville 4 : The Evil Escapes (1989), réalisé par Sandor Stern.
    - The Amityville Curse (1990), réalisé par Tom Berry.
    - Amityville 1992 - It's About Time (1992), réalisé par Tony Randel.
    - Amityville - A New Generation (1993), réalisé par John Murlowski.
    - Amityville Dollhouse (1996), réalisé par Steve White.
    - The Amityville Horror (2005), réalisé par Andrew Douglas.



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  • Les Doubles





    Définition :
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    Le double ou Doppelgänger (aussi apellé bicorporéité ou autoscopie) est un phénomène paranormal des plus inquiétant. Le mot Doppelgänger  vient de l’allemand qui signifie sosie, celui-ci est en fait comme son nom l’indique, une espèce de clone fantomatique le plus souvent maléfique d’une personne.
     <o:p></o:p>

    Quelques mythes :<o:p></o:p>

    Une vieille croyance prétend qu’apercevoir son double, reflet vivant de soi-même, n’est pas seulement un phénomène étrange et angoissant, mais que cela signifie aussi une mort certaine et proche.<o:p></o:p>

    Une autre légende prétend que ce clone, qui n’a ni ombre, ni reflet, est là pour semer le doute dans l’esprit de la victime ou de ses proches.<o:p></o:p>

    Une coutume d’halloween veut qu’une jeune fille qui allume deux bougies devant son miroir et se mette à manger une pomme aperçoive le reflet de celui qui sera son futur époux. Si elle plus courageuse, elle peut aussi se rendre dans un cimetière et en faire le tour 12 fois. Au 13ème, elle rencontrera le double lui-même de son futur mari.<o:p></o:p>

    Dans le même genre, une autre croyance raconte que celui qui désire savoir qui mourra dans l’année, n’a qu’à se tenir devant la porte d’une église, le 24 Avril, la veille de la Saint Marc. Il verra alors défiler  en procession dans l’église, devant lui, à minuit, les doubles de tout ceux qui décèderont.<o:p></o:p>

    De même, une tradition veut que le jour d’un décès, tout les miroirs soient recouvert d’un drap, de manière à ce que le sosie maléfique de la personne décédée ne puisse emporter quiconque passerait devant.


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    Les doubles célèbres :<o:p></o:p>

    Beaucoup de personnages historiques célèbres auraient déjà vu ce deuxième double d’eux-mêmes.<o:p></o:p>

    Goethe par exemple, vit le sien alors qu’il venait de subir un grand choc émotif, il avançait vers lui dans un costume gris perle. Guy de Maupassant voit à plusieurs reprises son " double ", assit en face de lui, dans son bureau, alors qu'il est en train d'écrire. Il relatera d’ailleurs ce phénomène dans son ouvrage Lui.<o:p></o:p>

    La Reine Elisabeth Ière d’Angleterre, aurait elle-même aperçu ce clone, la vieille de sa mort, allongé sur son lit de mort, pâle et immobile ; tout comme l’Impératrice de Russie, Catherine II, dite la Grande, qui aurait vue son image avancer vers elle. Pour ne pas prendre de risque, elle aurait demandé à ses gardes de faire feu sur ce double.<o:p></o:p>

    Mais ce phénomène d’autoscopie n’est pas le seul privilège des plus Grands. Nombres de témoignages ont été rapporté sur le sujet.
    Des études furent menées, et on nomma l’action de se dédoubler : OBE (Out of Body Experience) en relation avec les NDE (Near Death Experience).<o:p></o:p>

    Le récit le plus célèbre de ces doubles est sans conteste celui de la jeune professeur Emilie Sagée, je vous invite à découvrir son histoire en cliquant ici.


    Les Doubles dans la littérature et le cinéma :

    On trouve des allusions à ces doubles dans de nombreuses oeuvres, que ce soit en littérature, au cinéma, ou même dans des jeux (de rôle ou vidéo).
    Parmis les plus célèbres, on compte notamment :

    • En littérature :
    •  
      • Lui de Maupassant (qu'il a rédigé alors qu'il était sous l'emprise d'un Doppelgänger cf. plus haut)
      • Frankenstein de Mary Shelley (son mari était aussi victime de ce clone maléfique)
      • L'Étrange Cas du Dr Jekyll et de Mr Hyde de Robert Louis Stevenson
    • Dans les jeux :
    •  
      • Les monstres de Donjons et Dragons
      • Ceux de Warhammer
    • Au cinéma :
    •  
      • Fight Club de David Fincher
      • Shining et Eyes Wide Shut de Stanley Kubrick
      • L'Inconnu du Nord-Express d'Alfred Hitchcock


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